TRINIDAD AND TOBAGO
INFOS PRATIQUES :
BATEAU VENEZUELA-TRINIDAD |
Il ne s’agit pas d’un ferry, mais d’un bateau pouvant embarquer une soixantaine de passagers. On peut y embarquer un vélo, à condition de le démonter, de l’emballer (même succinctement) pour lui donner une configuration « bagages ». On a droit à 2 bagages de maxi 32 kg chacun, plus un petit bagage à main. Ils n’ont pas été stricts avec moi.
Ce bateau « C Prowler » de la compagnie « Pier 1 », quitte Chaguaramas (13 km ouest Port Of Spain) le mercredi matin 9 h, et Güiria (péninsule de Paria, 150 km est Carupano, 375 km est Barcelona, 700 km est Caracas) à 15h, et fait la traversée en 3h30 ou 4h. Mais prévoir des retards, car les formalités du Vénézuéla ou de Trinidad sont longues.
Tarif prohibitif, vu la distance parcourue : 49 $ aller. Un aller-retour, taxe aller incluse (sortie Vénézuela) coûte 121 $ (305000 bolivars début 2005). Calculé pour revenir un peu moins cher que l’avion. Intéressant si l’on visite en même temps l’Oriente vénézuélien (et puis les compagnies aériennes locales ont vite fait de taxer lourdement le transport d’un vélo). A noter qu’à 1 km est de l’embarcadère de Chaguaramas, j’ai vu un bâtiment où ils louent des vélos. A vérifier. Attention au retour, il faut garder 75 TT$, et se rendre dans une pièce dissimulée (et non signalée) à l’intérieur du complexe devant le quai, pour payer cette taxe et remplir le formulaire de départ (le demander s’ils oublient).
Le nombre de places sur ce bateau hebdomadaire est limité, et il est rappelé partout qu’il faut donner par téléphone sa date de retour au moins 5 jours avant, et confirmer 72 h avant. En fait, ce système doit être prévu pour les fortes périodes (carnaval, vacances vénézuéliennes...), car ils disent finalement de se pointer à 7 h du matin pour le retour (8 h peut même suffire), sans rien demander. Pour téléphoner, se garder des pièces (de 25 cents je suppose), car sinon, c’est l’achat d’une carte à 10 TT$, qui permet de téléphoner 45 mn !
Certains guides papier (Le Petit Fûté) ou on line (ABM) font encore référence à un ferry Puerto La Cruz (Vénézuéla) – Isla Margarita – Port of Spain – Barbade – St Vincent – Ste Lucie, par la compagnie Winward. Hélas, ce ferry a subi une collision en 2003, et la liaison a été interrompue. Dommage. A ce jour, l’unique moyen de gagner les autres îles des Caraïbes est donc l’avion (sauf Ste Lucie, reliée à Guadeloupe et Martinique, via le coûteux Express des Iles).
FERRY TRINIDAD-TOBAGO |
La plupart des infos disponibles sur internet ne signalent qu’un ferry journalier (sauf samedi), assez lent (5h1/2). Les choses ont bien changé. Il y a 3 ferries quotidiens (2 le samedi depuis Trinidad, et le lundi depuis Tobago), énormes, 5h30 de trajet, sauf le rapide 3h. Pour autant, malgré la grande capacité, il faut réserver, et s’y prendre de bonne heure si l’on tombe sur un week-end.
Le rapide (« cat ») part de Port of Spain à 16h00, de Scarborough à 07h00. Le régulier quotidien part de Port of Spain à 09h00, de Scarborough à 23h00. Le supplémentaire part de Port of Spain à 23h00 (lundi au vendredi), de Scarborough à 11h00 du mardi au samedi. Des navettes supplémentaires existent les jours fériés. Tous ont la même tarification.
Il y a trois tarifs : cabine (60 $TT) , touriste (30 $TT), économique (25 $TT, le seul applicable au « cat », où l’on a forcément un siège, sur plus de 800 places). Pour un vélo, on se fait extorquer l’effarante somme de 1 $TT (0,12 €) par sens. Attention : bien qu’en achetant un billet on fixe une date et un horaire (modifiable à tout moment, y compris une fois le bateau parti), il faut, 1 h (au plus tard 30 mn, sinon risque d’annulation de la « pré-réservation ») avant le départ, confirmer, via le guichet « checking ». Au moins, on ne perd jamais son billet.
Tout le monde se précipite pour embarquer, réflexe probable d’une époque où l’on risquait de rester à terre par manque de place. Avec le système de checking et la capacité, pas de problème, laisser passer la foule. Avec le nombre de sièges, c’est bien le diable si l’on faisait la traversée debout.
Rien que le voyage vaut le coup : depuis Port of Spain, on contourne toute la partie nord de Trinidad, montagneuse à souhait, et bien sûr on aborde Tobago, île typique des Antilles, chapelet d’îles volaniques essaimés par une montée de magma, au gré du déplacement d’une plaque tectonique.
TRINIDAD |
L’île principale, nerf économique, qui représente 95 % de la population, très concentrée dans la moitié ouest de l’île, avec parfois des densités ahurissantes, même en zone rurale, le long des routes. Pour autant, il existe quelques belles zones, majoritairement nord et est.
PORT OF SPAIN |
En fait, POS même n’a guère plus de 50 000 habitants, mais l’agglomération, qui court presque de Chagaramas jusqu’à Arima, en rassemble 10 fois plus. Sans être exceptionnel, son site est toutefois plaisant, ville coincée entre la montagne et la mer. Il y a quelques lookouts, dont celui de Fort St James (rude montée de 3,4 km jusqu’à 335 m), qu’on peut prolonger jusqu’à une série d’antennes 200 m plus haut – mais la route, partiellement revêtue, devient très rude sur la fin. La vue de nuit est magique.
Autres points de vue : depuis la Lady Chancelor road, en semi-cul de sac (une route redescend, mais souvent à 20 % sinon plus), mais mieux, depuis la Lady Young, route qui part également du Parc Savannah, pour rejoindre les banlieues est.
Sinon, la ville-même offre peu d’intérêt. A part l’ambiance du Parc Savannah, très fréquenté le dimanche. Les anciennes maisons de l’époque coloniale (the magnificient Seven), au nord-ouest de ce parc, sont très délabrées, dommage. Les églises et cathédrales, très typiquement anglaises, n’ont pas d’attrait particulier. Reste que le centre, grouillant d’activité, est assez propre, c’en est une surprise quand on vient du Vénézuela.
NORD-OUEST |
Chaguaramas, 18 km ouest POS. La route, indiquée jusqu’à la Boca de Monos, côte déchiquetée parsemée d’îlots, est alléchante sur le papier. Hélas, après la jolie anse où accoste le bateau depuis/vers le Vénézuela, la route quitte bientôt le bord de mer, longé par des chantiers navals, pour aboutir à une zone militaire, évidemment interdite d’accès. De plus, une fois terminée la 2x2 voies, la route devient étroite et circulante, pénible (même passé minuit, il y a du trafic, la zone est très prisée des habitants de l’agglomération de POS).
En fait, ce n’est vraiment intéressant que pour se rendre à une plage (la plus sauvage est celle au nord, accessible par la Tucker Valley et Mount Plaisant, une zone chouette pour camper discret, et assez fréquentée par les cyclos, expats ou locaux).
NORD |
C’est LA route à faire à vélo. Si vous n’avez qu’un ou deux jours à passer à T&T, c’est là qu’il faut aller. En partant tôt et en voyageant avec un minimum, le circuit est possible en une journée.
POS-Maracas-Las Cuevas-Blanchisseuse : route au début encombrée et étroite, montant d’abord en douceur dans une vallée étroite. Puis montée plus brutale, et peu après, carrefour : une moitié du trafic part sur la droite, vers des faubourgs. De là, route un peu plus tranquille, en bonne montée, et jolie. On atteint un col, et à partir de là, parcours superbe en corniche, entre 300 et 100 m d’altitude, en à-pic au-dessus d’une côte déchiquetée.
Puis on redescend vers des plages. On remonte un peu, et l’on traverse une région rurale, jusqu’à Blanchisseuse.
Est Blanchisseuse : des cartes indiquent une piste longeant toute la côte nord, jusqu’à Matelot, d’où une route continue de longer la côte nord, jusqu’à rejoindre la côte est. Elle a existé. On peut rouler les premiers km, jusqu’à Paria Bay. Ensuite, dû à quelques colères météo, il n’y a plus qu’un sentier, apparemment assez peu utilisé, et s’il y a eu une piste, ça doit remonter à loin en arrière ! Y pousser le vélo doit être galère, surtout vu la distance (au moins 20 km), car même à pied, certains endroits semblent assez difficiles.
Blanchisseuse-Arima : on oblique plein sud, par une charmante route de montagne, très tranquille, presque fraîche vu qu’on roule souvent en forêt. Camping souvent facile. On monte en deux fois, jusqu’à atteindre un col à 570 m. Eau aisée à trouver dans la deuxième partie.
NORD-EST |
Valencia-Matura-Toco-Matelot. Le dommage est que cette route soit en impasse après 60 km, et que je ne sois pas sûr qu’elle soit suffisamment spectaculaire pour justifier un aller-retour. Pour autant, après coup, je me dis qu’il vaut encore mieux y traîner, que passer son temps dans le sud de l’île. Il doit y avoir de jolis coins (quoique cette région soit plutôt réputée pour ses plages), et la route semble apparemment tranquille.
COTE EST |
La longue plage de Manzanilla à Mayaro, 25 km de long, déserte hors week-end, longée de cocotiers, petit paradis tropical. La côte même, battue par le vent, est exempte de moustiques. Par contre, ne pas s’aventurer à camper de l’autre côté de la route : la zone est infestée de tous les insectes de la terre et d’ailleurs !
Au sud de Mayaro, la route se poursuit jusqu’à la pointe extrême sud-est. En fait, aucun intérêt : la mer est rarement visible, la route est vallonnée, et redevient circulante, car desservant une région de production pétrolière. Du reste, on aboutit en fait à une vaste zone appartenant à British Petroleum, et la Saunders Road est ensuite coupée. La police peut autoriser à utiliser la Edward Trace, piste bitumée jusqu’à Basse Terre / Moruga, mais rien de garanti. Cette route est très accidentée, avec sur quelques km des % effarants. Par contre, très tranquille.
COTE SUD |
Rarement accessible, et d’intérêt limité. Le seul parcours est de Moruga à La Lune, avec une courte vue, frustrante, sur la mer. Le seul intérêt, c’est la succession de maisons sur pilotis le long des routes, et des gens plus nature et plus sympa qu’ailleurs (les Trinitadiens sont rarement antipathiques).
COTE SUD-OUEST |
Idem rarement accessible, d’encore plus faible intérêt (pauvre plage à San Francique). Dans les environs, il y a des volcans de boue, non signalés (donc, on doit passer à côté sans le savoir). De plus, c’est là que commence la forte densité de population, avec le trafic intense sur des routes étroites et vallonnées, ce qui limite de beaucoup le plaisir.
La pointe sud-ouest doit être un peu plus intéressante (Cedros, Fullarton), mais accès par une route d’intérieur vallonnée. Vraiment si on a le temps.
Pitch Lake, le fameux lac naturel de bitume (près de La Brea, entre Point Fortin et San Fernando) offre un intérêt limité. En fait, si l’on ne sait pas à quoi on a affaire, on passe au-dessus d’une dépression, avec des flaques d’eau (ou d’huile ?) parsemées sur une zone grise, d’apparence boueuse, dans un environnement industrialisé pas très captivant. Pour amateurs de terrils et de corons.
COTE OUEST |
De San Fernando à POS, zone très peuplée et très industrialisée, sauf la coupure de Caroni Swamp, paradis des oiseaux (on se demande comment, ils aiment le mazout ou quoi ?). Le site de San Fernando, dominé par une petite colline curieuse, et l’anse au sud de la ville, procure quelques jolies vues, toutefois.
CENTRE |
Pas de fait saillant. Je suppose que les routes doivent être vallonnées, dans un paysage tropical masquant les quelques modestes reliefs (non loin de Tabaquite, la route monte rude, et l’on franchit même un col à 140 m !), mais rien d’extraordinaire. Le centre-ouest (d’une ligne passant par les Caroni Arena Dam et Navet Dam) est assez peuplé, le centre-est assez désert.
TOBAGO |
Des deux, c’est l’île touristique. Désormais, une route en fait le tour complet, il ne manque plus que 8 km de goudron (début 2005) entre Anse Fourmi et Charlotteville, tout au nord-est, mais les travaux sont sérieusement en cours.
Scarborough-Moriah-Charlotteville (côte nord-est) : 49 km, 1475 m de dénivelé positif.
Scarborough-Roxborough-Charlotteville (côte sud-est) : 42 km, 700 m de dénivelé positif (concentré à l’est).
Scarborough-Crown Point-Plymouth-Scarborough (côte ouest) : 13 + 14 + 8 = 35 km, env 150 m de dénivelé positif.
Pour la partie est, si un hôtel à 25 $ ne rebute pas, conseillé de faire le tour (90 km) sans bagages, car le relief est parfois costaud.
On peut entrer dans l’intérieur par quelques routes, parfois goudronnées, notamment autour de Mason Hall, voire réaliser quelques boucles complémentaires – mais d’intérêt relatif hors saison des pluies, et...rendues difficiles d’accès à la saison des pluies !
La côte nord est accidentée. On commence à grimper en plusieurs fois jusqu’à 310 m, via la Northside Road passant par Mason Hall et Moriah (fin de l’important trafic routier), puis on redescend sur Castara. Entre Castara (19 km depuis Scarborough) et Parlatuvier, on ne grimpe jamais bien haut (entre 50 et 90 m au-dessus des flots), mais souvent, et avec des pentes un peu dures si l’on a tout son barda. Après Parlatuvier, la route monte durement, puis atteint un carrefour, à presque 30 km de Scarborough et 200 m d’altitude. A droite, on peut rejoindre Scarborough en 38 km, en traversant la Main Ridge à 500 m d’altitude. A gauche, on redescend sur Bloodhy Bay (non loin de Dead Bay, quels noms primesautiers).
La route remonte ensuite sur une crête, puis redescend légèrement sur un seuil, Anse Fourmi, à 180 m d’altitude, bien au-dessus de l’anse elle-même. De là, la nouvelle route monte au-dessus de la côte, jusqu’à 350 m, redescend brusquement sur une anse, remonte de nouveau à 170 m, avant de redescendre jusqu’à l’entrée de Charlotteville. Cette zone (Bloody Bay-Charlotteville) est parfaite pour le camping.
La côte sud est très accidentée dans sa partie est (Charlotteville- Roxborough). On commence par une brusque montée en 1,5 km jusqu’à un col à 200 m d’altitude, d’om l’on peut affiner la vue en montant, 2 km plus loin, jusqu’au sommet de Flagstaff, par une route goudronnée (340 m). Redescente sur la jolie baie de Speyside, avec des îlots parsemés dans un océan remué. Nouvelle montée, facile d’abord, plus dure ensuite, jusqu’à un autre col à 180 m. Après, les montées seront moins dures, mais presque constantes entre Roxborough et Scarborough. Des chutes (waterfalls) sont accessibles par des pistes vers l’intérieur, mais probablement intéressantes uniquement en saison des pluies (mai-novembre). Au km 8,5 (depuis Scarborough), une route qui devient piste monte au Hillsborough Reservoir (lac de barrage), non visible de la route elle-même, puis permet de rejoindre, soit Mason Hall, soit (route quittant la piste sur la droite) Hope, au km 7 de la Winward Road (Scarborough-Charlotteville, quittée au km 8,5).
La partie ouest de l’île n’appelle pas de commentaires particuliers. Faible intérêt à vélo, il vaut mieux être un passionné de plage, de snorkeling ou surtout de surf pour l’apprécier. C’est là (surtout Black Rock) que se concentrent les touristes occidentaux, tandis que le reste de l’île reste très couleur locale.
HEBERGEMENT |
Non testé, car en général rarement en-dessous de 25 $. Même à Port of Spain, où il subsistait des Guest Houses à 10 $, il semble que désormais, on ne puisse rien trouver en-dessous de 25 $ - ou alors, il faut bien chercher. Le pays vise un tourime « à la caraïbe », et vu les distances du pays, il n’existe pas de marché local pouvant justifier des hôtels locaux.
Le camping est somme toute assez aisé, d’autant plus que sur Tobago et la majorité de Trinidad, il n’y a pas de gros problèmes de sécurité. La végétation est dense. Sur Tobago, vu le relief, on a un peu plus de difficulté, mais on trouve toujours à camper. Avoir toujours son repellent (crême à la citronnelle) ou, encore mieux, des serpentins (mosquito coils), qu’on laisse consumer durant 6 h (déconseillé dans une chambre d’hôtel, ça vous asphixierait un cyclo, ces machins-là !). En plus, ces serpentins ont aussi tendance à éloigner les autres moucherons divers. Mais ne pas oublier que, dans les pays tropicaux, les fourmis sont autant un problème que les moustiques. Donc, avant de s’installer, scruter minutieusement l’herbe, pour voir si l’on ne plante pas juste au-dessus d’une fourmillière.
Une tente en tant que telle est peu indiquée (on y étouffe vite à l’intérieur). Il vaut mieux avoir une moustiquaire (qu’on recouvrira le cas échéant du double-toît s’il se met à flotter), ou bien un abri de plage, qui permet d’être très aéré.
VELO |
T&T n’est pas vraiment le pays du vélo ! J’ai cependant vu quelques personnes sur des vélos indiens, ou bien sur des moutain-bikes bas de gamme (plus bas de gamme que le mien, c’est dire), ainsi que, ô surprise, des cyclos en vélo de course, plutôt autour de la capitale, ou sinon le dimanche.
On trouve quelques boutiques cyclo. Hors la capitale, s’attendre au « service minimum » côté pièces de rechange (pneus, chambres à air...). Quelques adresses (2005) :
Dans le quartier « Woodbrook » (juste à l’entrée ouest de POS, tout près du centre-ville) :
- sur Pole Carew Street, prolongement de Ana Street (sur le plan officiel touristique, nord-ouest du pâté « vert kaki »)
- sur Marli Street près de Maraval Street (prolongement French Street) (sur le plan officiel, pâté « bleu »).
Dans St James, entrée ouest POS : juste au début de Western Main Road, qui devient ensuite Tragarete Road.
A Arima (27 km est POS), on trouve une petite boutique à la sortie est, sur la droite.
Sur Tobago, rien vu.
ALIMENTATION |
Supermarkets un peu partout (souvent, de simples épiceries, mais aussi de vrais supermarchés, dans les petites villes), et même quelques hypermarchés (est de Port of Spain, sud de San Fernando). Le site du ministère des Affaires Etrangères signale pas mal de vols sur les parking de ces hypermarchés (sans doute guère plus qu’en France, en fait), donc take care. On trouve tout : boites de conserve, noodle soups, lait en poudre, etc...Prix plus élevés qu’au Vénézuela, cependant souvent compétitifs (disons 30 % moins cher qu’en France).
BUS |
Ce petit pays est quadrillé de bus (majoritairement des minibus), mais je doute qu’ils embarquent les vélos, sauf peut-être sur des destinations principales (POS-Arima, POS-San Fernando) ? La station principale est non loin de l’embarquement du ferry pour Tobago, sur la droite en venant du port.
Bien sûr pas de train.
EAU |
Pas mal de robinets un peu partout sur les deux îles (et eau réfrigérée aux deux terminus de ferry), eau a priori traitée (chlorée). En tout cas, en deux semaines, je n’ai pas eu à m’en plaindre, sans avoir à la traiter.
RECHAUD |
Pas vu de cartouches butane. La seule possibilité semble être le réchaud à essence.
GENS |
Population très métissée. Tobago, pratiquement « d’origine », antillaise. Trinidad, différence marquée entre le nord, antillais et cosmopolite, et le sud, population d’origine indienne. On trouve successivement des églises, des temples hindous, des mosquées...
INTERNET |
J’ai pu me connecter pour 6 TT$ (0,8 €) les 30 mn (10 TT$ l’heure).
SITES INTERNET |
Trinidad
/ Tourism and Industrial Development Company of Trinidad and Tobago Limited
(TIDCO)
10-14 Philipps Street, Port of Spain, Trinidad
http://www.tidco.co.tt
http://www.abm.fr/fiche/trinid1.html
http://www.lonelyplanet.com/destinations/caribbean/trinidad_and_tobago/index.htm